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Mais t'es pas net baptiste ? : l'histoire complète de la ref !

  • Photo du rédacteur: GPASLAREF
    GPASLAREF
  • 18 oct.
  • 3 min de lecture

Un simple live Facebook, une phrase absurde… et Internet tenait son nouveau mème culte.

“Mais si j’suis très net !” la réplique mythique de Baptiste, devenue symbole d’un web aussi drôle qu’imprévisible.


Le buzz initial

En 2017, un jeune homme prénommé Baptiste diffuse un live sur Facebook depuis sa chambre. Rien ne laissait présager que ce direct allait devenir l’un des mèmes les plus cultes du web français. Sur la vidéo, on le voit manipuler et brûler un morceau de kevlar, pendant que sa famille tente de comprendre ce qu’il fait. Mais c’est surtout sa réponse confuse et légendaire — « Mais si j’suis très net ! » — qui va tout faire basculer. Prononcée avec une voix pâteuse et un ton totalement décalé, cette phrase devient instantanément virale, reprise, remixée et détournée sur toutes les plateformes.

La vidéo atteint plus d’un million de vues en quelques jours. Les internautes y voient à la fois de l’absurde, du comique involontaire et une spontanéité brute qu’on ne retrouve que dans les débuts d’Internet. Très vite, les extraits circulent sur Twitter, YouTube et TikTok, où “Mais si j’suis très net” devient une expression culte pour moquer quelqu’un qui perd le contrôle d’une situation.



Sa réponse au buzz

Face à l’ampleur du phénomène, Baptiste Moirot sort du silence. Dans une interview donnée quelques années plus tard, il explique avoir agi sous l’effet de deux somnifères, sans réelle conscience de ce qu’il faisait. Il reconnaît que son comportement n’était pas normal et dit regretter la tournure virale qu’a prise la vidéo.

Il affirme avoir supprimé le live après avoir vu le compteur atteindre un million de vues, dépassé par la situation. Selon lui, le buzz s’est propagé bien au-delà de ce qu’il pouvait imaginer : “Je ne voulais pas que cette vidéo tourne, je voulais juste rigoler un peu.”

Son cas illustre parfaitement la fragilité entre humour, viralité et exposition involontaire à l’ère des réseaux sociaux.



L’invitation au relais de la flamme olympique

En 2024, Baptiste refait surface dans un tout autre contexte. Choisi comme porteur de la flamme olympique pour Paris 2024, son nom apparaît dans la liste officielle publiée par l’organisation. L’idée derrière cette sélection ? Mettre en avant des profils variés : anonymes, bénévoles, personnalités locales ou figures connues d’Internet, représentant “la diversité des parcours français”.

Le choix surprend et amuse certains internautes : voir “Baptiste, le gars du kevlar”, invité à un événement symbolique de rassemblement national, a tout du clin d’œil générationnel.

Mais cette nomination va rapidement prendre une autre tournure...














La controverse

Quelques jours après l’annonce, des internautes ressortent d’anciennes captures et propos polémiques attribués à Baptiste sur les réseaux sociaux. Très vite, l’affaire enfle : plusieurs médias s’en emparent, et des voix s’élèvent pour dénoncer un choix jugé “malheureux”. Sous la pression, l’organisation retire son nom de la liste des porteurs.

Baptiste ne s’exprimera que brièvement sur le sujet, évoquant une “erreur du passé” et affirmant avoir changé depuis. Mais le mal est fait : la viralité qui l’avait propulsé sous les projecteurs huit ans plus tôt se retourne à nouveau contre lui. Cette fois, non plus sous le signe de l’humour, mais de la polémique.



Conclusion : Entre mythe et mise en garde

Le cas de Baptiste illustre à la perfection la double face d’Internet. En 2017, un simple live le propulse au rang de phénomène viral, symbole d’un web spontané et sans filtre. En 2024, cette même notoriété ressurgit, transformée en fardeau médiatique.

“Mais si j’suis très net !” restera sans doute à jamais une référence culte de la culture Internet française. Mais derrière la blague, c’est une leçon sur la mémoire du web : rien ne disparaît jamais vraiment. Et parfois, les mèmes qu’on croit oubliés finissent par nous rattraper… huit ans plus tard.


T'avais la ref ?

  • Oui

  • Je connais la vidéo mais j'avais pas le contexte

  • Non


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