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“Fais la moula” : la danse culte de Gobias devenue un mème

  • Photo du rédacteur: GPASLAREF
    GPASLAREF
  • 26 sept.
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 27 sept.

À l’origine, ce n’est qu’une vidéo Snapchat parmi tant d’autres.

Un petit garçon en larmes après la défaite de son équipe de foot… et une simple phrase prononcée derrière la caméra : “Fais la moula !”

En quelques secondes, tout bascule : Gobias se met à danser, et internet tient une nouvelle référence culte.


Le contexte : un match perdu, un garçon filmé

En 2018, sur Snapchat, une courte séquence circule : un jeune garçon prénommé Gobias vient de vivre la défaite de son équipe de football.Les yeux encore embués de larmes, il est filmé par un proche. On lit la tristesse sur son visage, symbole d’un enfant qui prend le sport très à cœur.

Mais c’est alors qu’une voix, derrière la caméra, lance cette phrase devenue mythique :

“Fais la moula !”


De la tristesse à la célébration

À la surprise générale, Gobias s’exécute.D’un instant à l’autre, il sèche ses larmes, et commence à danser sur place, comme s’il passait du désespoir à la fête.

Ce contraste brutal entre les émotions, pleurer puis célébrer dans la foulée — amuse immédiatement les internautes. La vidéo devient une métaphore parfaite de la résilience, ou simplement des changements d’humeur soudains que tout le monde connaît.



La viralité sur Snapchat et au-delà

L’extrait se propage rapidement sur Snapchat, notamment grâce à de grands comptes comme CLeZga et BooskaP.Partagée, repostée, détournée, la séquence devient un phénomène.

Très vite, la “Moula Dance” s’impose comme un mème réutilisé dans de nombreux contextes :

  • pour se moquer de quelqu’un qui rebondit trop vite après un échec,

  • pour symboliser un retournement de situation,

  • ou simplement pour représenter une joie soudaine et décalée.














Une ref qui perdure

Plusieurs années après sa première apparition, la vidéo circule encore sur les réseaux sociaux.Elle fait partie de ces mèmes intemporels qui ressortent régulièrement, car leur humour repose sur une situation universelle : passer du chagrin au sourire, du négatif au positif, en un claquement de doigts.

Aujourd’hui, le nom de Gobias reste associé à ce moment culte, et l’expression “Fais la moula” garde sa place dans la culture internet francophone.



Conclusion

De la déception sportive à la danse improvisée, Gobias n’imaginait sûrement pas devenir un symbole de la culture mème. Et pourtant, sa “Moula Dance” reste, des années plus tard, une référence incontournable de l’humour en ligne.



T'avais la ref ?

  • Oui

  • Je connais la vidéo mais j'avais pas le contexte

  • Non


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